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LA RECITATION




La Récitation est un terme qui signifie spécifiquement la récitation de la Sourate Al Fatiha et la deuxième sourate lors des 1ère et 2ème unités (Rik‘a) de la Prière. La récitation lors des 3ème et 4ème unités (Rik’a) est nommé « les quatre Tasbihsالتسبيحات    الأربعة   » et « Adh-Dhikr الذكر   = les Louanges ».

Articles concernant la Récitation :

- La Récitation est un acte obligatoire de toutes les prières obligatoires ou recommandées sauf « la prière du mort ». Cependant la Récitation n’est pas un pilier de la prière. En conséquence, si le prieur n’accomplie pas, intentionnellement, la Récitation, sa prière est invalide. En revanche, s’il ne l’accomplie pas par oubli ou omission, sa prière est valide.

- Le dire « Bismillah-ir-Rahmani-ir-Rahim » fait partie de la Sourate Al-Fatiha et toutes autres sourates sauf sourate 9 (At-Tawbah, l’immunité). Il est licite que le prieur récite « Bismillah-ir-Rahmani-ir-Rahim » avant de choisir la sourate qu’il veut réciter.

- Réciter à haute ou basse voix : L’homme doit réciter, la Fatiha et la deuxième Sourate (la Récitation) à voix haute lors des prières du Matin, du corpuscule (Maghreb) et de la nuit (‘Ichaa) et à voix basse lors des prières du Midi (Duhr), de l’après Midi (‘Asr). En revanche, la femme fait le choix de réciter, les deux sourates, à basse ou haute voix, lors des prières du Matin, du corpuscule (Maghreb) et de la nuit (‘Ichaa) et elle doit les réciter à voix basse lors des prières du Midi (Duhr) et de l’après Midi (‘Asr). Et cela à l’exception des deux cas :

    • Il est recommandé, de réciter « Bismillah-ir-Rahmani-ir-Rahim » à voix haute lors des prières du Midi (Duhr) et de l’après Midi (‘Asr).

   • Il est recommandé de réciter les deux Sourates à voix haute, lors de la prière du Vendredi et la prière du Midi (Dhur) le jour du Vendredi.

- Si le prieur, par omission ou par ignorance, récite à voix haute ce qui doit être récité à voix basse et vice-versa, sa prière est valable. Et s’il s’aperçoit, lors de la récitation, son erreur, il doit alors continuer correctement sans recommencer la récitation du début. Exemple : Si lors de la prière du Midi (Duhr) le prieur récite, par omission, à voix haute, sa prière est valable et s’il s’aperçoit son erreur pendant la récitation il doit la finir à voix basse, sans revenir en arrière.

En revanche, s’il récite, intentionnellement, à voix haute ce qui doit être récité à voix basse et vice-versa, sa prière est invalide.

- Lors des prières surérogatoires, le prieur fait le choix de réciter à voix haute ou basse.

- Lors des restes de la prière (l’inclination, les prosternations, Tachahoud « l’Attestation », Taslim « la Salutation », Qunut et, entre eux etc.) le prieur fait le choix de réciter à voix haute ou basse.

La deuxième Sourate :

- Lors des prières quotidiennes obligatoires, il suffit de réciter une partie de sourate bien qu’il est recommandé de réciter une sourate entière après la Fatiha. En revanche, la récitation de deuxième sourate (ou une partie de Sourate) n’est pas obligatoires lors des prières surérogatoires, quotidiennes ou autres, or le prieur peut se contenter par la récitation de la Fatiha ou avec une partie d’une deuxième sourate après la Fatiha.

- Il n’est plus obligatoire de réciter la deuxième sourate dans plusieurs cas : lorsqu’on est si malade, si presser, en cas de peur, si le temps est bien limité et si on ne connaît pas du tout les autres Sourates que la Fatiha. Dans tous ces cas alors, le prieur peut se contenter par la récitation de le Fatiha seulement.

- Il doit que la deuxième sourate ne soit pas si longue à tel point que le temps prescrit pour la prière s’achève avant de terminer la prière. Par exemple, si le prieur est entrain d’accomplir la prière du matin et le temps prescrit va s’achever dans cinq minutes, il doit choisir une sourate pas longue pour finir la prière avant de la fin du temps. Cependant, s’il récite, par omission, une longue sourate et alors achève la prière après son temps prescrit, sa prière reste valide à condition qu’il a achevé, au moins, une unité (Rik’a) avant la fin du temps. Sinon sa prière est invalide.

- Récitation des quatre sourates : Il est licite de récite une de quatre sourates contenant les versets pour lesquelles on doit prosterner, alors si le prieur récite une d’elles, quatre cas se présentent :

    • S’il récite la sourate en entier ou une partie contenant le verset qui exige la prosternation, intentionnellement, il doit se prosterner et lorsqu’il se prosterne sa prière devient invalide, il doit alors recommencer la prière par précaution obligatoire. En revanche s’il ne se prosterne pas, par ignorance ou oubli ou bien par illicitement sa prière est valide.

    • S’il la récite, par omission, sa prière est valide, même s’il récite le verset qui exige la prosternation et il devra se prosterner après la prière.

    • S’il récite la partie qui ne contient pas le verset qui exige la prosternation, sa prière est valide.

    • Si le prieur écoute un des versets qui exige la prosternation, sa prière est valide et il doit faire un signe de la tête et par précaution recommandée il se prosterne après la prière.

Il est à savoir, que les quatre sourates qui contiennent les versets exigeant la prosternation, sont : La sourate 32 (La prosternation), verset 15. La sourate 41 (Les verset détaillés, Fussilat), verset 37. La sourate 53 (L’étoile), verset 62. La sourate 96 (L’adhérence, Al-‘Alaq), verset 19.

- Lors des prières surérogatoires, il est licite de réciter des sourates ou des versets qui exigent la prosternation. Alors, si le prieur récite un des ces versets dans une prière surérogatoire, il doit se prosterner dès qu’il le récite, puis il revient à sa prière pour la finir selon son rite prescrit.

- Sourates 105 et 106 et Sourates 39 et 34 : D’après certains savants les deux Sourates 105 et 106 (l’Eléphant et Qoraish) font une seule sourate et les deux Sourates 39 et 34 (Le Jour montant, Adh-Dhuha et l’ouverture, Ach-Sharh) font une seule sourate. Mais cet avis n’a pas été prouvé pour nous. Par conséquence, le prieur peut se contenter par la récitation d’une de quatre sourates après la Fatiha voire il peut réciter une partie d’elle puisqu’il est valable de réciter une partie de sourate lors des prières quotidiennes obligatoires, comme nous l’avons mentionné ci-devant.

- Il est licite, lors des prières obligatoires, de réciter deux sourates entières après la Fatiha pendant une seule unité (Rik’a) mais cela est détestable. En revanche, lors les prières surérogatoires cela n’est pas détestable.

- Changement de la sourate : Il est licite d’interrompre la Sourate qu’on est entrain de réciter pour réciter une autre sourate à condition qu’on n’a pas atteint la moitié de la Sourate, par précaution obligatoire, à l’exception de deux cas :

    • Il est illicite d’interrompre les deux Sourates 112 (Le pur culte, Al-Ikhlas) et 109 (Les mécréants) pour réciter une autre Sourate même si le prieur n’a pas encore atteint la moitié de la Sourate et cela sauf lors de la prière du Vendredi et la prière du Midi (Dhur) le jour du Vendredi, or si on a commencé de réciter, par omission, les deux sourate ou toute autre sourate, alors il est licite de l’interrompre pour réciter la sourate 62 (Le Vendredi) lors de la première unités (Rik’a) ou la Sourate 63 (Les hypocrites) lors de la deuxième unité (Rik’a) même si le prieur a déjà atteint voire dépassé la moitié de la Sourate.

Il est à savoir, que lors de la prière du Vendredi et la prière du Midi (Dhur) le jour du Vendredi, il est recommandé de récité après Al-Fatiha la Sourate 62 (Le Vendredi) lors de la première unité (Rik’a) et la Sourate 63 (Les hypocrites) lors de la deuxième unité (Rik’a).

    • Si le prieur oubli une partie de la Sourate et lorsque le temps prescrit de la prière est bien limité, il est licite, dans les deux états, de réciter une autre Sourate même s’il l’on a déjà récité la moitié ou plus et s’il s’agit des sourates112 (Le pur culte, Al-Ikhlas) et 109 (Les mécréants).

- Lors des prières surérogatoires, il est licite d’interrompre la sourate qu’on est entrain de réciter pour réciter une autre sourate même s’il l’on a déjà récité la moitié et s’il s’agit des sourates112 (Le pur culte, Al-Ikhlas) et 109 (Les mécréants).

- Prière surérogatoires spécifiques : Certaines prières surérogatoires exigent qu’on récite des Sourates ou des Versets déterminés, comme lors de «la prière de Ghoufayla» recommandée après la prière du corpuscule (Maghreb) ou lors de certaines prières recommandés pendant le mois du Ramadan etc. Alors le prieur doit réciter les Sourates ou les versets déterminés afin qu’on considère cette prière comme tel.

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Prendre le Saint Coran entre Les mains : Il est licite, lors des prières obligatoires et surérogatoires, de réciter directement dans le Saint Coran bien qu’il est recommandé de se limiter au cas lorsque le prieur ne la connaît pas par cœur.

Le quatre Tasbihs (Louanges) :

- Lors de 2ème unité et 3ème unité, en station débout, le prieur doit réciter à voix basse et il fait le choix de réciter les quatre louanges « les quatre Tasbihs » ou la Fatiha bien qu’il vaut mieux de choisir les quatre louanges. S’il choisi de réciter la Fatiha il doit la réciter même «Bismillah-ir-Rahmani-ir-Rahim» à voix basse.

- Il est obligatoire de réciter « les quatre Tasbihs » une seule fois bien qu’il vaut mieux les récite, par précaution recommandée, trois fois.

- Il est licite que le prieur récite dans la 3ème unité (Rik’a) « les quatre Tasbihs » et dans la 4ème unité (Rik’a) la Fatiha et vice-versa.

- Si le prieur a l’intention de récite « les quatre Tasbihs », il entame, par omission, la récitation de la Fatiha et vice-versa, il continue alors à réciter ce qu’il a commencer sans revenir en arrière.

Les quatre Tasbihs sont : Subhan-al-llah Wal-hamd-ou lil-lah Wala ilaha illal-llah Wallatou Abar. « Gloire à Dieu et louange à Dieu et il n’ya de divinité qu’à Dieu et Dieu est le plus grand سبحان اللهِ والحمد للهِ ولا إله إلاّ اللهُ واللهُ أكبر ».

Il est recommandé de dire après avoir finir les quatre Tasbihs : Astaghfir-oul-llah-a Rabbi wa-atoubou ileyh (J’implore le pardonne à Allah, mon seigneur et je me tourne vers Lui) أستغفر الله ربي وأتوب إليه.

Réciter correctement :

- il est obligatoire que la Récitation soit compatible avec les règles linguistiques et grammaticales arabes et voilà quelques règles nécessaires pour la prière :

- On ne doit pas prononcer le Hamza de certains mots comme les mots suivants : Allah   اللهAr Rahman ،الرحمن Ar Rahim   الرحيم، Ihdima إهدنا، As Samad الصمد … (Hamza de jonction) si on fait la liaison entre ces mots et les mots qui les précèdent comme lorsque le prieur dit : « Bismillah-ir-Rahmani-ir-Rahim » بسم الله الرحمن الرحيم.

- On doit prononcer le Hamza de certains mots comme les mots suivants : Iyaka إيّاك، An’amta أنعمت … (Hamza qu’on prononce avec la voyelle qui l’accompagne) même si on fait la liaison entre ces mots et les mots qui les précèdent comme lorsque le prieur dit : « Iyaka Na’boudou Wa Iyaka Nasta’in » إيّاك نعبد وإياك نستعين. ou « Siratal-lathina An’amta ‘Alyhim » صراط الذين أنعمت عليهم.

- On doit vocaliser les mots selon les consonnes arabes (les voyelles brèves). Cependant, lors de la prononciation du dernier lette du mot, le prieur fait le choix entre vocaliser ce lette ou le rendre muet, même s’il fait la liaison entre ce mot et le mot suivant.
Exemple : S’il récite Al-Hamd-ou lil-llah-i Rabbil-‘Alemin-a الحمد لله رب العالمينَ il fait le choix entre finir le verset avec ou sans la voyelle brève, alors il dit : -‘Alemin ou -‘Alemin-a. et cela même s’il continu la récitation et fait la liaison avec le verset suivant : Ar Rahman-ir-Rahim الرحمن الرحيم (Al-Hamd-ou lil-llah-i Rabbil-‘Alemin-a- Ar Rahman-ir-Rahim ou Al-Hamd-ou lil-llah-i Rabbil-’Alemin-Ar Rahman-ir-Rahim).

- Il est licite de réciter « Maliki yawmi-Din » مالك يوم الدين ou « Meliki yawmi-Din ». ملك يوم الدين et il licite de réciter «Koufou-wen Ahad» كُفُواً أحد ou « Kouf-wan Ahad » كُفْو اً أحد ou « Koufou-an Ahad » كُفُوءً أحد ou « Kouf-an Ahad »كُفْءًً أحد .

Les cas de dérèglement :

- Si le prieur, par omission, oubli de réciter la Fatiha et la deuxième sourate (La Récitation) lors de 1ère et 2ème unités (Rik’a), deux cas se présentent :

    • S’il s’aperçoit l’erreur avant d’arrivé à la limite supérieure de l’Inclination (Rukou’) il doive les réciter, car il est toujours à la position débout.

La limite supérieure de l’Inclination (Rukou’) est lorsque les bouts des doigts des mains arrivent aux genoux, en inclination.

    • S’il s’aperçoit l’erreur après avoir arrivé à la l’Inclination (Rukou’), alors sa prière est valide. Il est recommandé d’accomplir deux prosternations pour oubli après avoir fini la prière.

- Si le prieur récite, par omission, la deuxième Sourate avant de réciter la Fatiha, il doit recommencer la récitation par la Fatiha puis la deuxième Sourate. S’il ne s’aperçoit qu’après avoir arrivé à l’inclination, sa prière est valable. Il est recommandé d’accomplir deux prosternations pour oubli après avoir fini la prière.

- Si le prieur trouble l’ordre de la Sourate, comme s’il récite les Versets ultérieurs avant les Versets intérieurs ou mélange entre les Versets, il doive revenir au verset d’où il a commencé l’erreur afin de terminer la récitation en ordre. S’il ne s’aperçoit qu’après avoir arrivé à l’inclination, sa prière est valable. Il est recommandé d’accomplir deux prosternations pour oubli après avoir fini la prière.

- Si le prieur hésite, en récitant la Fatiha ou la deuxième sourate, de quelle façon doit prononcer un mot ou vocaliser une syllabe, alors il doit l’apprendre à condition que cela est possible et le temps restant soit assez étendu, même si cet acte exige d’invalidé la prière et la refaire ultérieurement. En revanche, si le temps est bien limité ou si cela est impossible, il doit alors le prononcer d’une façon probable et sa prière est valide.

- Si le prieur hésite, en récitant la Fatiha ou la deuxième sourate, doit-il réciter à haute ou basse voix ? Sans avoir la possibilité de le savoir, il doit choisir une de deux façons, en espérant que cela est juste et sa prière est valide.

- Si le prieur fait une des erreurs mentionnées au-dessus, intentionnellement, sa prière est invalide.

- Si le prieur est incapable de prononcer certaines lettres comme le « Ra ? » ou « qa ? » ou s’il est muet, il doit prononcer selon sa possibilité et sa prière est valable.

- Si le prieur est incapable de récité la Fatiha et la deuxième sourate et il ne peut pas le lire dans le Saint Coran - comme un nouveau converti- il doit accomplir la prière selon sa possibilité. Il peut aussi accomplir sa prière avec quelqu’un dans une prière en assemblée.

- Si le prieur n’est pas appris la Fatiha et la deuxième Sourate par négligence, il doit les apprendre avant d’accomplir la prière. Si le temps prescrit est bien limité il doit l’accomplir avec quelqu’un dans une prière en assemblée et si cela n’est pas possible il doit l’accomplir en récitant ce qui connais de deux Sourate sinon des versets d’une autre sourate, s’il les connaît, sinon des Tasbihs (Louanges) à la place de deux sourate. Néanmoins il peut se contenter par la récitation de la Fatiha car le deuxième Sourate n’est plus obligatoire pour celui qui l’ignore, comme on a cité ci-devant.

Les cas de doutes :

- Si le prieur doute, après avoir arrivé à la limite supérieure de l’Inclination (Rukou’) d’avoir récité ou non la Fatiha et la deuxième Sourate, il ne doit pas tenir compte de ce doute, alors il se considère comme s’il les a déjà récités. Et s’il doute avant d’arrivé à la l’Inclination (Rukou’), il doit les réciter car il est toujours à la position débout.

- Si le prieur doute, en récitant la deuxième sourate d’avoir récité ou non la Fatiha, il continue la récitation sans tenir compte de doute. Et s’il doute de la correction d’un verset ou d’un mot et s’il n’a pas commencé à réciter la suite, il doit alors réciter ce mot ou ce Verset correctement car il est toujours à la place concernée. En revanche, s’il a commencé de réciter la suite, il continue la récitation sans tenir compte de doute. Exemple : Lors de la récitation de « Iyaka Na’boudou Wa Iyaka Nasta’in » إيّاك نعبد وإياك نستعين » l’on doute d’avoir récité (ou d’avoir récité correctement) « Ar Rahman-ir-Rahim الرحمن الرحيم » alors, on continue la récitation sans tenir compte de doute.

Les actes recommandés :

Il est recommandé :

- lors de la 1ère unité (Rik’a), avant de commencer la récitation de dire : « a’oudhou bil-llahi minach-cheitanir-rajim ». أعوذ بالله من الشيطان الرجيم « Je cherche refuge auprès de Dieu contre le Satan banni »

Le Saint Coran dit : « Lorsque tu lis le Coran, demande la protection de Dieu contre le Diable banni. فَإِذَا قَرَأْتَ الْقُرْآَنَ فَاسْتَعِذْ بِاللَّهِ مِنَ الشَّيْطَانِ الرَّجِيم » S 16 : V 98.

- de psalmodier la Fatiha et la deuxième Sourate.

Le Saint Coran dit : « Psalmodie le Coran distinctement وَرَتِّلِ الْقُرْآَنَ تَرْتِيلًا » S 73 : V 4. Voir aussi : S25 : V32.

- de faire une pause entre la Fatiha et la deuxième Sourate.

- de faire une pause entre les Versets.

- de dire « Allah-ou Akbar اللهُ أكبر » après la Récitation ; avant d’accomplir l’inclination et avant de d’accomplir «Le Qounut / la dévotion ».

- de dire après la Fatiha : « al hamd-ou lil-llah-i rabbil-‘alemin » الحمد لله ربِّ العالمين « Louange à Dieu, Seigneur de l'univers ».

- de dire après la sourate sourates112 (Le pur culte, Al-Ikhlas) : (ka-dhlkal-llah-ou rabbi ou rabbina) " كذلك الله ربّي " أو ربنا"" « Tel est mon seigneur (ou notre seigneur).

- de récité après la Fatiha, lors de la prière du matin dans la 1ère unité (Rik’a) la Sourate 87 (Le Très Haut, Al A’la) et dans la 2ème unité (Rik’a) la Sourate 91 (Le Soleil, Ach-Chams).

- de récite après la Fatiha, lors de la prière du Vendredi et la prière du Midi (Dhur) le jour du Vendredi la sourate 62 (Le Vendredi) lors de la première unité (Rik’a) et la Sourate 63 (Les hypocrites) lors de la deuxième unité (Rik’a), comme on a mentionné ci-devant.

- de récité dans la 1ère unité (Rik’a) de toutes les prières quotidienne obligatoire la Sourate 97 (Le Décret, Al Qadr) et dans la 2ème unité (Rik’a) la sourates112 (Le pur culte, Al-Ikhlas).

- de réciter « Bismillah-ir-Rahmani-ir-Rahim » à voix haute lors des prières du Midi (Duhr) et de l’après Midi (‘Asr), comme on a mentionné ci-devant.

- de choisir les quatre louanges lors de 3ème et 4ème unité (Rik’a), comme on a mentionné ci-devant.

Les actes détestables :

Il est détestable

- de n’est pas réciter la sourates112 (Le pur culte, Al-Ikhlas) lors des cinq prières quotidienne obligatoire.

- de récite la même Sourate dans les deux unités (Rik’a) d’une même prière sauf s’il s’agit sourates112 (Le pur culte, Al-Ikhlas).

- de réciter d’un seul trait la sourates112 (Le pur culte, Al-Ikhlas).






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